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PRESSE 

Jazz Magazine n°600 Février 2009 “L’Electrip Vol. 2”

Bien belle réalisation que cet album signé par le guitariste Michel Prandi et son ensemble “Electrip”, dont le noyau dur est constitué du trio qu’il forme avec Dominique Di Piazza à la basse et Joël Allouche à la batterie ainsi qu’aux percussions. Prandi possède un solide bagage technique toujours mis à la disposition toujours mis au service d’un phrasé chantant, même dans des sinuosités où se succèdent tensions et résolutions. Ses sonorités et son vocabulaire guitaristique sont très fortement influencés par les guitaristes ayant marqués les années 70 à 90: on pense au Metheny de “Bright size life” (Eole) a Bill Frisell pour la recherche d’intervalles qui “frottent”, et surtout au Marc Ducret des années 80. Les compositions reposent souvent sur des mesures impaires, ponctuées par les cymbales aériennes de Joël Allouche, et une belle maîtrise de l’écriture polyphonique où les timbres des instruments à vent sont savamment entrelacés. A noter également un dosage acoustique/électrique réussi, la contrebasse alternant avec la basse électrique toujours fluide de Dominique Di Piazza. Un disque qui parlera aux amateurs d’un certain jazz européen contemporain et mélodique.
Pascal Ségala.




Jazz Hot n° 655 Novembre 2005 “L’Electrip Vol. 1”
Avec un titre comme “L’Electrip” l’on est prévenu dès le départ: le trio du guitariste Michel Prandi se situe résolument dans le registre électrique rêveur. Régulièrement inspiré par les semblables de Metheny et Scofield, le leader s’entoure de Dominique Di Piazza à la basse, lequel semble avoir fait ses classes en écoutant Pastorius, et d’Eric Bretheau qui reste discret aux baguettes pour ne sortir de sa réserve que dans “La danse des mains”. Pas la fusion bête et méchante, celle que d’aucuns adoptent dans le seul but de reproduire les années 70. Juste des ritournelles prenantes du guitariste et compositeur qui visent toute la simplicité et l’économie (“Le sable et l’écume”, “Au sud de nulle part”). L’auto-production a du bon.
Thomas Marcuola.




Jazz Magazine n° 561 Juillet-Août 2005 “L’Electrip Vol. 1”
Satisfactions: celles d’abord, de retrouver une vieille connaissance, Dominique Di Piazza, toujours aussi inventif et musicien. Le disque à peine commencé, il solote brièvement, comme un petit rappel à l’ordre (“Eh oui, semble-t-il nous dire, je suis toujours là...). Celle, ensuite, de faire connaissance avec un guitariste doué, jamais démonstratif, aussi bien influencé, à l’évidence, par la douceur mélodique d’un Louis Winsberg que par l’impétuosité électrique d’un Marc Ducret. C’est très bien. Michel Prandi a dû auto-produire  son disque: les temps sont durs pour ceux qui veulent ne serait-ce que se faire entendre. Il y a quelques années encore, nul doute qu’un label “indé” de qualité eût publié sans sourciller son opus sans langueurs ni longueurs (à peine 46 minutes, parfait), riche en improvisations intenses et fort en thèmes (on aime beaucoup “Le sable et l’écume”, par exemple). A suivre, en espérant qu’un jour l’économie du temps-jazz sera à nouveau au beau fixe et que place sera à nouveau donnée à ceux qui se risquent non pas à suivre les modes mais, tout simplement, à essayer de se construire leur propre univers. Comme Michel Prandi.
Frédéric Goaty.

 



Chicxulub n° 5 Novembre-Décembre 2004 “L’Electrip Vol. 1”
Michel Prandi est un nouveau venu sur la scène discographique jazz. Avec “L’Electrip”, il publie sept compositions enregistrées en trio avec outre le guitariste, Eric Bretheau à la batterie et Dominique Di Piazza à la basse. Une formule de trio que Dominique Di Piazza connaît bien puisqu’elle rappelle celle qu’il a lui même pratiqué avec John Mc Laughlin. L’album de Michel Prandi  ne souffre pas de la comparaison et le guitariste nous emmène dans son propre univers avec quelques belles compositions servies par une réelle virtuosité. Notamment une “New Rumba” particulièrement tonique.
Un trio électrique qu’il convient de suivre attentivement !
Alain Vaquier.





​Label “Ghost Note Records” “L’Electrip Vol. 2”

Le guitariste compositeur Michel Prandi signe son dernier album chez Ghost Records. Michel Prandi continue à étendre les frontières d’un jazz chaleureux en mélangeant beaucoup d’influences... Une aventure ambitieuse à ne pas manqué. Le Nouveau CD est sorti le premier septembre 2008.
Steve Markarian

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Le souffle bleu

Jazz. Musique de notre temps? "L'Electriptyque" 

Michel Prandi, guitariste, à l’écart des modes, construit son travail. Il en est au volume 3 de « L’électriptyque », une sorte de suite qu’il poursuit... Il est accompagné dans cette recherche par Frédéric Monino à la basse électrique véritable ancre pour l’ensemble du groupe, François Laizeau, batteur et percussionniste, qui continue de faire la preuve de sa capacité d’invention et Rémi Ploton, au piano.
Il cherche de nouvelles voies, de nouveaux collages associant les musiques, les métriques pour faire surgir le neuf de toutes ces mémoires, mémoires d’un passionné de jazz. Mémoires sans doute partagées avec le groupe de musiciens de Montpellier.
La musique mécanique semble une des références (Murmures et Soupirs)... Ces compositions dansent et nous font bouger. Un pas de plus et Michel Prandi pourrait dépasser sa propre tradition, celle des guitaristes dans la lignée de Pat Metheny... Ces compositions s’écoutent. Elles décollent même de temps à autre pour nous faire atteindre le pays des rêves… Il faut suivre cet “Electriptyque”, des surprises surgiront…

Nicolas Béniès.
« L’électriptyque », Michel Prandi, Pype Line Productions

 

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